martes, 11 de marzo de 2008

LA RELATION ENTRE LES PARENTS ET LES ENFANTS

La relation entre les parents et les enfants est tres importante dans tous les pays. S’il y a une bonne relation c’est parce qu’il existe une communication fluide et de la confiance entre nous et nos parents.
A l’heure actuelle la communication s’est perdue parce que tous les enfants et les parents n’ont pas le temps de parler en famille. Quelques parents oublient le plus important : les valeurs et l’amour, pour garder la communication et la confiance avec leurs enfants. Quand il n’existe pas de confiance dans la famille les enfants se confondent parce que ils n’ont pas avec qui parler et ils peuvent prendre des drogues, de l’alcool, ou devenir violents.
Si nous comparons le présent avec la situation il y a cinquante ans, nous allons trouver que les familles avaient beaucoup de differences dans la communication. Par example, les enfants suivaient les conseils de leurs parents, ils les ecoutient et les obeissaient. Mais en ce moment dans la communication avec eux beaucoup de choses ont changé. Les parents pensent que s’ils donnent l’alimentation, les etudes, le logement et les vetements, a leurs enfants ils ont accompli leurs fonctions comme parents. Mais ce n’est pas ainsi, c’est une erreur la communication implique un dialogue constant sur tout ce qui arrive aux membres de la famille.
Un autre élément important pour la communication entre parents et enfants c’est la confiance. Si les enfants ont confiance avec leurs parents ils peuvent parler de n’importe quelle chose ; par exemple, d’un probleme a l’ecole ou d’un probleme personnel.
Une bonne relation dans la famille aiderait les enfants a devenir de bonnes personnes. Les parents seraient ainsi fiers de leurs enfants et surtout ils seraient des amis. C’est pourquoi, si les parents ont de bons enfants le futur du monde sera meilleur.

Le Peuple a le Pouvoir

LE PEUPLE A LE POUVOIR

Il y a quelques jours, mon professeur de formation politique, nous a conduit aussi bien à moi qu’à mes camarades à réfléchir sur le pouvoir qui a le peuple sur ses dirigeants, basé sur une vidéo cassette qui parlait sur les partis politiques colombiens et leur cruelle guerre pour arriver á la présidence du pays.
Parmi beaucoup de commentaires, il y a en eu un que a attiré mon attention : le prof nous a dit, « nous sommes un pays sans mémoire, et quand un peuple ne se rappelle pas de son passé, il a tendance à commettre les mêmes erreurs dans le futur ».
Effectivement celle-ci est la réalité qui nous régit depuis beaucoup de temps. Quand ceci se présente, on ouvre la porte à beaucoup d’éléments destructifs comme la corruption, l’impunité, la non-conformité sociale, ce qui se traduit dans d’autres phénomène comme la guérilla, le trafic de stupéfiants, les paramilitaires et d’autres problèmes similaires, C’est par ceci que la Colombie a une image négative face à tout le monde.
Bon, nous avons un dicton qui dit, « il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir » et cela est applicable à notre pays. Pour quoi ? parce que nous, en tant que peuple, nous avons les outils pour changer cette réalité. Je veux mentionner deux de ces outils, basé sur la vidéo :
Le premier est « le vote », grâce au vote, nous pouvons choisir de bons dirigeants qui veillent pour les intérêts communs du peuple, et pas par leurs propres intérêts, ou d’un groupe en particulier. S les personnes qui sont postulées pour les fonctions gouvernementales ne sont fiables, ou ils ont un passé trouble, nous pouvons voter en blanc, jusqu’à ce qu’ils se voient obligés à céder le pas á d’autres qui réunissent les conditions que le peuple exige.
L’autre outil est « la protestation » Par ce moyen, le peuple peut presser ses dirigeants pour qu’ils cherchent des alternatives de solution aux problèmes qui affectent le pays.
J’ai été impressionné de voir les manifestations des étudiants en France. Ils ont fait que le gouvernement se rétracte d’imposer une loi qui allait contre leurs intérêts, et ils ont pressé de telle manière, que le gouvernement n’a pas eu d’autre choix que reconsidérer une telle loi.
Alors, je me demande, pour quoi nous ne pouvons pas de faire la même chose ? Je ne veux pas dire que je suis gauchiste, guérillero, ou que je suis contre le gouvernement, non, pas du tout, ce que je veux dire c’est que l’attitude des jeunes français est un bon exemple. Si nous pouvions faire que les gouvernements changent à notre faveur, en utilisant bien les outils que nous avons, nous pourrions forger un futur plus équitable, plus juste en tenant compte de nos erreurs passées.

Social Network



Social network





A social network is a social structure made of nodes (which are generally individuals or organizations) that are tied by one or more specific types of interdependency, such as values, visions, idea, financial exchange, friends, kinship, dislike, conflict, trade, web links, sexual relations, disease transmission (epidemiology), or airline routes. The resulting structures are often very complex.
Social network analysis views social relationships in terms of nodes and ties. Nodes are the individual actors within the networks, and ties are the relationships between the actors. There can be many kinds of ties between the nodes. Research in a number of academic fields has shown that social networks operate on many levels, from families up to the level of nations, and play a critical role in determining the way problems are solved, organizations are run, and the degree to which individuals succeed in achieving their goals.
In its simplest form, a social network is a map of all of the relevant ties between the nodes being studied. The network can also be used to determine the social capital of individual actors. These concepts are often displayed in a social network diagram, where nodes are the points and ties are the lines.

Applications

SNA and network modeling approaches have been used in epidemiology to help understand how patterns of human contact aid or inhibit the spread of diseases such as HIV in a population. The evolution of social networks can sometimes be modeled by the use of agent based models, providing insight into the interplay between communication rules, rumor spreading and social structure. Here is an interactive model of rumour spreading, based on rumour spreading from model.
Diffusion of innovations theory explores social networks and their role in influencing the spread of new ideas and practices. Change agents and opinion leaders often play major roles in spurring the adoption of innovations, although factors inherent to the innovations also play a role.
Dunbar's number: The rule of 150 suggested that the typical size of a social network is constrained to about 150 members due to possible limits in the capacity of the human communication channel. The rule arises from cross-cultural studies in sociology and especially anthropology of the maximum size of a village (in modern parlance most reasonably understood as an ecovillage). It is theorized in evolutionary psychology that the number may be some kind of limit of average human ability to recognize members and track emotional facts about all members of a group. However, it may be due to economics and the need to track "free riders", as it may be easier in larger groups to take advantage of the benefits of living in a community without contributing to those benefits.